Dans le 13e arrondissement le 21 août 2012, la brigade des enquêtes d’initiative du 13e arrondissement (BEI 13) interpelle un homme de 26 ans susceptible d’être l’auteur d’une tentative de meurtre commise le 17 août 2012.
Le 17 août, peu avant 7 heures, un homme de 62 ans est découvert dans le hall d’un foyer du 13e arrondissement, blessé par arme blanche, notamment au niveau du thorax et du cou. Avant d’être pris en charge par les secours et conduit à l’hôpital, il donne le prénom de celui qu’il dit être son agresseur.
Les enquêteurs apprennent que la victime est un sans domicile fixe fréquentant les lieux depuis une trentaine d’années ; il a l’habitude de dormir dans les escaliers de secours de l’établissement. Les résidents le décrivent comme quelqu’un de serviable et ne posant aucun problème.
Lors des constatations effectuées sur place, du sang susceptible d’appartenir à l’agresseur est prélevé.
Les investigations menées par la BEI orientent les policiers vers un homme dont le prénom correspond à celui donné par le blessé, habituellement domicilié chez son frère dans le 13e arrondissement. Ils se rendent sur place le 20 août. Celui-ci leur explique que le suspect n’a pas reparu depuis le matin de l’agression, il a laissé dans sa chambre un flacon de désinfectant et de nombreuses taches maculaient le sol, du sang est également découvert dans la cage d’escalier menant à l’appartement.
Les enquêteurs se rendent le 21 août à Ivry-sur-Seine (94) dans les locaux d’une association fréquentée par l’intéressé. Il vient d’y passer mais en est reparti quelques minutes auparavant.
Son signalement est diffusé et les effectifs de police locaux le repèrent peu après. Tentant de prendre la fuite, il est rattrapé et interpellé. Il présente une importante blessure à la main.
Entendu, il reconnaît avoir eu une altercation avec la victime, sans en préciser clairement le motif, et aurait été menacé par celle-ci d’un couteau. Il s’en tient à ces déclarations disant ne pas se souvenir de la suite des événements.
Il est présenté au Parquet de Paris le 22 au soir en vue de l’ouverture d’une information judiciaire et placé en détention provisoire à l’issue.
La victime, frappée de plus de vingt coups de couteau notamment au cœur, aux poumons, au thorax, à la tête et au cou est toujours dans le coma.
Source : Service de la communication de la préfecture de police de Paris.
Les enquêteurs apprennent que la victime est un sans domicile fixe fréquentant les lieux depuis une trentaine d’années ; il a l’habitude de dormir dans les escaliers de secours de l’établissement. Les résidents le décrivent comme quelqu’un de serviable et ne posant aucun problème.
Lors des constatations effectuées sur place, du sang susceptible d’appartenir à l’agresseur est prélevé.
Les investigations menées par la BEI orientent les policiers vers un homme dont le prénom correspond à celui donné par le blessé, habituellement domicilié chez son frère dans le 13e arrondissement. Ils se rendent sur place le 20 août. Celui-ci leur explique que le suspect n’a pas reparu depuis le matin de l’agression, il a laissé dans sa chambre un flacon de désinfectant et de nombreuses taches maculaient le sol, du sang est également découvert dans la cage d’escalier menant à l’appartement.
Les enquêteurs se rendent le 21 août à Ivry-sur-Seine (94) dans les locaux d’une association fréquentée par l’intéressé. Il vient d’y passer mais en est reparti quelques minutes auparavant.
Son signalement est diffusé et les effectifs de police locaux le repèrent peu après. Tentant de prendre la fuite, il est rattrapé et interpellé. Il présente une importante blessure à la main.
Entendu, il reconnaît avoir eu une altercation avec la victime, sans en préciser clairement le motif, et aurait été menacé par celle-ci d’un couteau. Il s’en tient à ces déclarations disant ne pas se souvenir de la suite des événements.
Il est présenté au Parquet de Paris le 22 au soir en vue de l’ouverture d’une information judiciaire et placé en détention provisoire à l’issue.
La victime, frappée de plus de vingt coups de couteau notamment au cœur, aux poumons, au thorax, à la tête et au cou est toujours dans le coma.
Source : Service de la communication de la préfecture de police de Paris.
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