Photo-montage
Et si le gouvernement décidait de taxer les propriétaires de chiens comme cela a été écrit dans la presse ? Considérés en droit français comme des meubles, les animaux de compagnie de l'hexagone pourraient bien rapporter de l'argent à l'Etat, eux qui, un temps durant, ont fait perdre de l'argent à la collectivité ; à Paris, par exemple. Il a fallu que les pouvoirs publics s'attaquent au porte-feuille des propriétaires de bêtes à poils pour que la propreté soit de retour sur les ex-crottoirs.
Ce qui compte c'est que les arrondissements peuvent enfin être arpentés sans crainte de lever le nez pour admirer le paysage. Plus de déjections canines. On peut enfin se promener sans craindre de mettre le pied là où la chance se fait toujours attendre. Dire qu'il a fallu dépenser de l'argent public pour inventer à la pelle ramasses-crottes et autres sanisettes pour qu'un jour, le bon sens l'emporte : les fous de toutous sont les seuls responsables du ramassage du caca de leurs protégés (16 tonnes par jour à Paris). Sans doute les temps étaient venus pour que les propriétaires soient éduqués comme leurs chiens, les pauvres. Ce qui se dessine en effet, c'est moins le harcèlement des amoureux de la gente canine que le cruel besoin de faire enfin une pause dans les dépenses publiques grotesques et farfelues, par exemple pour acheter un moto-crotte, qu'un pâle sursaut, mais un sursaut tout de même, de savoir-vivre ensemble. Par delà les trottoirs, la ville de Paris est redevenue une ville magnifique et un extraordinaire cadre de vie où nos amis les bêtes sont enfin en odeur de sainteté.
En cas de taxation, risque-t-on un retour en arrière ou au contraire, une meilleure reconnaissance de la place des toutous parisiens ?
Ce qui compte c'est que les arrondissements peuvent enfin être arpentés sans crainte de lever le nez pour admirer le paysage. Plus de déjections canines. On peut enfin se promener sans craindre de mettre le pied là où la chance se fait toujours attendre. Dire qu'il a fallu dépenser de l'argent public pour inventer à la pelle ramasses-crottes et autres sanisettes pour qu'un jour, le bon sens l'emporte : les fous de toutous sont les seuls responsables du ramassage du caca de leurs protégés (16 tonnes par jour à Paris). Sans doute les temps étaient venus pour que les propriétaires soient éduqués comme leurs chiens, les pauvres. Ce qui se dessine en effet, c'est moins le harcèlement des amoureux de la gente canine que le cruel besoin de faire enfin une pause dans les dépenses publiques grotesques et farfelues, par exemple pour acheter un moto-crotte, qu'un pâle sursaut, mais un sursaut tout de même, de savoir-vivre ensemble. Par delà les trottoirs, la ville de Paris est redevenue une ville magnifique et un extraordinaire cadre de vie où nos amis les bêtes sont enfin en odeur de sainteté.
En cas de taxation, risque-t-on un retour en arrière ou au contraire, une meilleure reconnaissance de la place des toutous parisiens ?