Valérie Trierweiler a porté plainte contre une des biographies qui lui sont consacrées qu’elle estime diffamatoire et mensongère ; et réclame 85 000 euros en réparation du préjudice.
Valérie Trierweiler, journaliste et compagne du Président de la République a déposé plainte avec constitution de partie civile contre les auteurs de la biographie "La frondeuse" publiée aux Editions du Moment ainsi que le directeur de la maison d'édition.
Les journalistes Alix Bouilhaguet, grand reporter au service politique de France 2, et Christophe Jakubyszyn, directeur adjoint en charge du service politique de TF1, ainsi qu'Yves Derai, directeur des Editions du Moment qui a publié le livre, sont poursuivis pour diffamation et propos mensongers avec demande de dommages et intérêts.
Maître Frédérique Giffard, avocate de Valérie Trierweiler, dénonce "le caractère des propos sous forme d'affirmations des auteurs, adossés à des rumeurs non avérées et malveillantes visant à salir sa personne et ses proches".
Sa cliente réclame 85 000 euros de dommages et intérêts, dont 40 000 euros pour diffamation, 40 000 euros pour atteinte à la vie privée et 5 000 euros au titre des frais de justice.
Dans un récit retraçant le parcours de la compagne de François Hollande, les auteurs indiquent une relation sentimentale passée avec Patrick Devedjian (UMP), avocat de profession, ancien ministre, président du conseil général des Hauts-de-Seine et dont l'élection en tant que député a été invalidée le 18 octobre 2012 par le Conseil constitutionnel. Celui-ci a également attaqué les auteurs en diffamation.
A suivre sur Paris Tribune : l'audience publique du procès prévu le lundi 10 décembre 2012 devant la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris.
Les journalistes Alix Bouilhaguet, grand reporter au service politique de France 2, et Christophe Jakubyszyn, directeur adjoint en charge du service politique de TF1, ainsi qu'Yves Derai, directeur des Editions du Moment qui a publié le livre, sont poursuivis pour diffamation et propos mensongers avec demande de dommages et intérêts.
Maître Frédérique Giffard, avocate de Valérie Trierweiler, dénonce "le caractère des propos sous forme d'affirmations des auteurs, adossés à des rumeurs non avérées et malveillantes visant à salir sa personne et ses proches".
Sa cliente réclame 85 000 euros de dommages et intérêts, dont 40 000 euros pour diffamation, 40 000 euros pour atteinte à la vie privée et 5 000 euros au titre des frais de justice.
Dans un récit retraçant le parcours de la compagne de François Hollande, les auteurs indiquent une relation sentimentale passée avec Patrick Devedjian (UMP), avocat de profession, ancien ministre, président du conseil général des Hauts-de-Seine et dont l'élection en tant que député a été invalidée le 18 octobre 2012 par le Conseil constitutionnel. Celui-ci a également attaqué les auteurs en diffamation.
A suivre sur Paris Tribune : l'audience publique du procès prévu le lundi 10 décembre 2012 devant la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris.
La Frondeuse, aux Editions du Moment.
Articles :
- 10 décembre 2012 : Coup de théâtre dans le procès intenté par Valérie Trierweiler.
- 13 juin 2012 : Les 2 tweets les plus célèbres de Valérie Trierweiler.
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