Au deuxième jour de la parution du livre, les attaques critiquent un style de romans de gare. Marc Levy ne s’en désole pas. Evoquant le fait qu’on n’est "pas plus bête de les lire là que dans un salon". Puis la réunion s’est terminée par un instant dédicaces. La rencontre entre le public et l’auteur dure une petite heure, rythmée par une douzaine de questions posées par ses admirateurs.
Le voleur d’ombres est un livre dans lequel un petit garçon "se sent investit d’une mission : celle de donner le goût du bonheur à ceux qui l’ont perdu". Disponible en librairie depuis le 17 juin aux éditions Laffont.
