Convoqué le 5 octobre 2011, il est placé en garde à vue. Si dans un premier temps il nie tout rapport avec le tiroir-caisse, il modifie ensuite sa défense expliquant l’avoir trouvé sur son chemin et l’avoir touché pour en examiner le contenu, contenu qu’il va même jusqu’à détailler : à savoir des papiers et … des clefs. Or, les témoins sont catégoriques : toutes les clefs ont été rapportées à l’hôtel et donc sauf à avoir lui-même participé au vol, il ne pouvait être au courant qu’elles s’y trouvaient.
Enferré, il a été déféré.
Source : Service de la communication de la préfecture de police de Paris.
