Ceux-ci expliquent avoir pris pour cible des personnes d’origine asiatique estimant qu’elles seraient moins enclines à déposer plainte.
Impliqués dans 14 et 18 procédures, ils ont l'interdiction d’entrer en contact par application d’un récent jugement.
Après leur présentation devant un juge des mineurs du TGI de Bobigny (93), l’un est remis en liberté et le second, sur lequel pesait l’interdiction, est écroué.
Source : Service de la communication de la préfecture de police de Paris.
