- Mieux gérer la circulation routière. Les 300 caméras qui gèrent actuellement le trafic routier à Paris sont appelées à être remplacées par des caméras moins obsolètes.
- Faciliter la gestion de l’ordre public comme lors des manifestations sur la voie publique.
- Renforcer la sécurisation en mettant l’accent sur l’aspect dissuasif et préventif des caméras.
- Prévenir le risque terroriste.
Point par point, les animateurs de la rencontre-débat dénoncent un programme idéologique, inefficace et coûteux pour la collectivité :
- Quel intérêt d’enregistrer le flux des véhicules quand il s’agit de gérer la fluidité de la circulation ?
- Enregistrer les images des manifestants sur la voie publique risque de dissuader les citoyens de manifester, un droit fondamental des pays démocratiques.
- Aucun bilan ni étude en France n’atteste de l’efficacité du système. La lutte contre la délinquance est plus complexe que l’installation de caméras, une réponse technique qui a ses limites.
- Sur le moment, les caméras ont été inefficaces pour retrouver les auteurs des attentats du 21 juillet 2005 à Londres. Parce qu’il portait un manteau en plein été, un jeune homme innocent a été abattu. Pour être efficace, il faut savoir à l’avance ce que l’on recherche.

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