Les explications de Cyril Mouet, ingénieur des travaux et responsable de la division du 7e et du 8e arrondissement de Paris présente l'organisation des services et les différents plans propreté mis en place : trois schémas de propreté sont proposés, selon que l'on se trouve dans la "période normale", la "période feuille", ou la "période exceptionnelle", comme en hiver et en été. L'ingénieur affirme que les services basent leurs décisions en fonction des riverains (note de la rédation : la mairie d'arrondissement a mis en place des référents par quartier qui font remonter les dysfonctionnements aux services de la propreté du 7e arrondissement lesquels effectuent aussi des repérages, des analyses et des comptages pour intervenir plus en profondeur sur certains quartiers). Laurence Girard, conseillère d'arrondissement de l'opposition félicite la mairie d'arrondissement d'avoir créé un plan propreté, et souligne que "tous les arrondissements ne l'ont pas fait".

Autre point, un riverain se plaint de la saleté du Champ de Mars le dimanche au petit matin : "c’est bien de dire qu’on fait des choses, mais en attendant c’est insuffisant, et le Champ de Mars reste dégoûtant". René-François Bernard reprend la parole et affirme "qu'en cinq ans on a multiplié par trois les ordures sur le Champ de Mars". Cyril Mouet ne peut qu’acquiescer et en prendre note.
Les élus pointent également du doigt le problème du recyclage à Paris : les poubelles publiques ne prennent pas en compte le recyclage ; un seul réceptacle existe pour toutes les ordures, contrairement à l'Italie qui propose presque "trop" de bacs à ordures.
La réunion se termine dans la précipitation au bout d'une heure ; un voeu devait être formulé, mais par "manque de temps", il passe à la trappe...
Les élus approuvent tout de même le plan propreté du 7e arrondissement : balayage, lavage, collecte du verre et enlèvement des encombrants.

Dans le 7e arrondissement, le ramassage des poubelles, assuré par l'entreprise Véolia, ne fait pas partie du plan propreté.