24 heures après le jugement, Jean-Pierre Lecoq est représenté au greffe pour saisir la Cour d'appel mais il ne peut plus déclencher de poursuites pénales contre la directrice de publication de Paris Tribune. Le Procureur de la République de Paris, convaincu que Vaea Devatine n'avait ni diffamé ni injurié Jean-Pierre Lecoq maire du VIe arrondissement, n'a pas interjeté appel de la décision. Vaea Devatine est définitivement relaxée au pénal.
Aujourd'hui, Jean-Pierre Lecoq veut toujours faire payer Vaea Devatine qui est responsable du journal en ligne, gratuit, informatif, d'investigation, documenté et satirique.
Jean-Pierre Lecoq a-t-il tellement aimé l'audience de première instance racontée dans l'article intitulé "Jean-Pierre Lecoq ne veut pas d'investigation dans le VIe arrondissement par Paris Tribune : le compte-rendu d'audience " qu'il souhaite revivre la même émotion devant la Cour d'appel de Paris ? Pour l'avocat de Paris Tribune, Maître Gérard Ducrey, l'action du maire du VIe arrondissement est infondée et abusive.
A la première audience devant la Cour d'appel, Pôle 2 Chambre 7, le 4 septembre 2013 dans l'après-midi, la date de l'audience de plaidoirie de l'action civile de Jean-Pierre Lecoq a été fixée au 12 février 2014 à 13h30.

- Le 4 juin 2013 au Tribunal de Grande Instance de Paris :
- Le compte-rendu d'audience devant le TGI :
- Le 23 octobre 2014 à la Cour d'Appel de Paris :
- En direct de la Cour Européenne des Droits de l’Homme :